DE RETOUR DE LONDRES...
Je ne vous l'avais même pas annoncé, le départ s'étant précipité, mais je suis partie à Londres pour 4 jours avec M. J'avais organisé ça en catimini pour son anniversaire et la surprise a été de taille puisqu'il en rêvait. Mon premier et dernier séjour sur le sol anglais remontait déjà à quelques années, lors d'une colo de vacances améliorée où mon souvenir le plus marquant fut d'avoir appris à danser la Macarena... J'étais donc plutôt excitée à l'idée de découvrir la capitale anglaise avec des yeux débarrassés des ornières de l'adolescence. Après ma découverte du charme de Bruxelles, mon béguin pour Paris, ma tendresse immodérée pour Rome, mes souvenirs d'enfance à Madrid, Londres allait devoir en faire un max pour rivaliser... Et croyez-moi, elle a plus que jamais relevé le défi !!! ;)
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Partis aux aurores de Poitiers jeudi matin, nous avons emprunté le TGV qui en 1h1/2 nous a emmenés à Paris-Montaparnasse. La SNCF avait prévu 2h de trou dans notre planning avant de prendre l'Eurostar. Sans nous presser, nous avons gagné la gare de Paris-Nord, nous nous sommes attablé à un café, avons commencé à élaborer les projets de visite du jour. 1/4h avant le départ, nous nous sommes pointés comme des fleurs à l'embarcadère... pour apprendre que l'enregistrement se fait normalement 1/2h minimum avant le départ du train ! Heureusement, il n'y avait pas foule et nous avons pu nous présenter rapidement aux douaniers qui m'ont fait remarqué, avec toute la politesse dont un douanier peut faire preuve, que ma carte d'identité ne serait plus valable le mois prochain (gros soupir de soulagement, je n'aurais jamais pensé à vérifier si le départ avait été prévu en juillet !).
Il était moins une, on a failli rester bloqués à Paris. Heureusement, nous franchissons la frontière (ne pas penser que des tonnes d'eau nous encerclent dans le tunnel). Arrivés à la gare de Waterloo, nous hallucinons longuement sur les prix des tickets de métro. On choisit la formule simple : un aller pour l'hôtel que nous utiliserons en fin de journée. Nos gros sacs sur le dos, nous entamons nos premières pérégrinations londonniennes. Un petit tour de la gare pour se repérer, puis nous traversons la Tamise, les gens ont l'air moins pressés et renfrognés qu'à Paris, on aperçoit Big Ben qui sonne juste les coups des 1h, comme pour nous rappeler d'adapter nos montres au décalage horaire. Les bus à deux étages et les taxis colorés semblent être les seuls à circuler. On s'arrête devant les célèbres cabines rouge, étonnés qu'il en reste finalement tant dans la ville. Un coup d'oeil à Westminster Abbey et à la statue de Churchill et direction St James's Park. Le temps est maussade, nos K-Ways nous donnent encore plus des allures de touristes. Dans le parc, nous croisons d'étonnants oiseaux, comme cette famille de pélicans. La végétation semble avoir été taillée de manière à garder un côté sauvage. Nous marchons jusqu'à Buckingam Palace où la reine ne descend même pas nous accueuillir. Ses gardes à bonnets en fourrure d'ours gardent l'entrée, arme en main, talons claquant au sol lors de leur marche militaire désuette. Nous ne nous attardons pas. Après avoir traversé Green Park, nous remontons l'avenue jusqu'à Picadilly Circus. Vitrines de luxe, les hôtels, restaurants et magasins arborent de nombreux noms français, apparent signe de raffinement (?) qui prête à nous faire sourire. Devant le théâtre du Criterion, des punks à crête colorée attirent l'oeil des passants. Nous continuons notre route vers Leicester Square où avec l'éclaircie, la foule s'est amassé sur les bancs, les terrasses des cafés et les trottoirs. Fatigués, nous posons nos sacs et nos fesses dans le Starbucks le plus proche. Nous apprécions particulièrement l'usage du papier recyclé, qui compense à peine la tasse jetable à bien y réfléchir... Mais l'image de tous ces gens, gobelet en main dans les rues, reste dans mon esprit symboliquement forte dans ma représentation des Londoniens. Après un petit tour de Chinatown, nous nous dirigeons vers Covent garden. Le petit labyrinthe des rues nous promènent dans un quartier aux allures de village. Tout est impeccable, les devantures des boutiques sont colorées, le charme opère tout de suite. Nous découvrons le petit marché couvert. Nous commençons à accuser le coup, nous sommes lévés depuis bien longtemps et nos sacs semblent peser de plus en plus lourds sur nos épaules. Nous marchons encore 1h à travers la ville avant de gagner la station de métro qui nous amènera directement à la plus proche de l'hôtel, réservé en périphérie. Il faut dire que la distance qui séparent les stations est toujours importante. Nous sommes impressionnés par la propreté et la modernité du métro. Nous descendons à Canary Wharf, dans les docklands, quartier des affaires où les hommes blancs costard-cravates, à la sortir du bureau, boivent leur pinte de bière debout devant les bars. Indiens, Pakistanais, Noirs, Asiatiques (, femmes) sont nombreux mais occupent souvent des postes "subalternes". Londres ici ne fait pas figure d'exception. L'hôtel proposé par voyages-sncf est un 4 étoiles. Nous avons un peu peur d'être regardés de travers à cause de notre accoutrement de routard mais pas du tout. Notre chambre est spacieuse, un plateau petit-déjeuner nous fera économiser l'argent d'un repas. A la télé, les Simpsons se disputent dans leur langue originale. Fourbus, nous optons après un bain chaud pour un dîner-buffet à l'hôtel.
Vendredi, couchés tôt, nous nous réveillons tôt. Il fait beau. Nous n'emportons que le strict nécessaire et optons pour une day travelcard qui nous permettra de prendre les transports en commun autant de fois que nécessaire. Nous traversons presque toute la ville en métro pour nous rendre sur le marché de Portobello Road : fripes, légumes, gadgets, cuisine à emporter... On y trouve de tout et le quartier est agréable, notamment grâce aux façades peintes et aux arbres qui longent les allées. On passe à côté de Notting Hill où les demeures victoriennes immenses ne nous encouragent pas à y chercher les décors où Hugh Grant tombe amoureux de Julia roberts. Nous descendons toute l'avenue jusqu'à Kensington Gardens et Hyde Park où nous faisons une halte au bord des lacs après avoir donné à manger aux écureuils apprivoisés avant de reprendre le métro. Un délicieux club-sandwich avalé dans un "Prêt à manger" et nous nous rendons à la National Gallery où l'on peut admirer quelques oeuvres de Mantegna, Boticelli, Van Gogh, Monet... La plupart des musées londoniens sont gratuits. C'est peut-être une des raisons pour lesquelles on y croise peu de monde. De là, nous partons faire un tour dans la City avant de traverser le London Bridge. Au hasard des rues, nous découvrons un joli marché couvert, le "green market". Les pubs sont animés, le week-end commence pour les Londoniens, demain, il y a match. En début de soirée, nous nous rendons à Greenwich Village et sirotons des smoothies sur la jetée. Le marché vient de se terminer, le spectacle de la Tamise avec les derniers rayons de soleil qui percent le ciel est magnifique.
Samedi, le soleil a décidé d'être de la partie. Nos déambulations dans le marché de Camden Town n'en sont que meilleures. Ce quartier restera peut-être notre meilleur souvenir. Nous n'avons jamais vu une telle effervescence et une telle variété de stands et de boutiques. Les façades des magasins sont décorées d'énormes sculptures colorées en papier mâché. On y croise punks, familles, touristes, bobos... On y vend de tout ! On s'attable à côté d'autres gens pour manger sur le pouce une spécialité chinoise ou italienne. On passe d'une boutique futuriste où rien que la tenue des vendeurs vaut le détour à des stands de bijoux artisanaux en passant par les galeries de fripes et les ateliers de tatouage. Encore bercés par cette ambiance, nous traversons le Regent's Park où Londoniens prennent des bains de soleil, pique-niquent, frappent la balle. Encore un petit tour de métro et nous voilà à la Tate Britain où les artistes britanniques sont à l'honneur ; on y découvre notamment le magnifique "Lady of Shalott" de John William Waterhouse's. Pour changer de nos transports souterrains, nous embarquons à bord du ferry qui relie les galleries jumelles. De la Tamise, nous observons le paysage sous un autre angle. Sur la rive droite, le London Eye tourne et offre le vaste panorama londonien aux touristes. A quai, nous passons à côté du Globe Theatre de Shakespeare pour nous rendre à la Tate Modern. Hébergé dans une ancienne usine, le musée s'étale sur plusieurs étages. On y voit de nombreuses oeuvres d'artistes contemporains, surprenantes, ingénieuses, parfois hermétiques. Les vérandas ouvrent la vue sur Londres. Nous restons scotchés devant le Video quartet de Christian Marclay où son montage de centaines d'extraits de films concentrés sur des instruments, des chants, des bruits donnés à voir sur quatre écrans juxtaposés donnent à entendre un veritable partition musicale. Prouesse sonore et visuelle. En sortant, il fait encore très beau et nombreux sont les gens sur les quais. Nous dînons dans un restaurant de la chaîne japonaise des Wagamama avant de regagner l'hôtel.
Dimanche, nous remettons nos sacs sur nos épaules, plus lourds qu'à l'arrivée des souvenirs emportés. Nous descendons à White Chapel où Jack L'Eventreur égorgea ses premières victimes. Nous baguenaudons à travers le marché populaire de Brick Lane, dépensons nos dernières livres sterling. Nous avons retenu la leçon et arrivons en avance à la gare de Waterloo. Le trajet du retour nous ramène à Poitiers, la tête pleine de souvenirs, bien décidés à repartir un jour !
Il était moins une, on a failli rester bloqués à Paris. Heureusement, nous franchissons la frontière (ne pas penser que des tonnes d'eau nous encerclent dans le tunnel). Arrivés à la gare de Waterloo, nous hallucinons longuement sur les prix des tickets de métro. On choisit la formule simple : un aller pour l'hôtel que nous utiliserons en fin de journée. Nos gros sacs sur le dos, nous entamons nos premières pérégrinations londonniennes. Un petit tour de la gare pour se repérer, puis nous traversons la Tamise, les gens ont l'air moins pressés et renfrognés qu'à Paris, on aperçoit Big Ben qui sonne juste les coups des 1h, comme pour nous rappeler d'adapter nos montres au décalage horaire. Les bus à deux étages et les taxis colorés semblent être les seuls à circuler. On s'arrête devant les célèbres cabines rouge, étonnés qu'il en reste finalement tant dans la ville. Un coup d'oeil à Westminster Abbey et à la statue de Churchill et direction St James's Park. Le temps est maussade, nos K-Ways nous donnent encore plus des allures de touristes. Dans le parc, nous croisons d'étonnants oiseaux, comme cette famille de pélicans. La végétation semble avoir été taillée de manière à garder un côté sauvage. Nous marchons jusqu'à Buckingam Palace où la reine ne descend même pas nous accueuillir. Ses gardes à bonnets en fourrure d'ours gardent l'entrée, arme en main, talons claquant au sol lors de leur marche militaire désuette. Nous ne nous attardons pas. Après avoir traversé Green Park, nous remontons l'avenue jusqu'à Picadilly Circus. Vitrines de luxe, les hôtels, restaurants et magasins arborent de nombreux noms français, apparent signe de raffinement (?) qui prête à nous faire sourire. Devant le théâtre du Criterion, des punks à crête colorée attirent l'oeil des passants. Nous continuons notre route vers Leicester Square où avec l'éclaircie, la foule s'est amassé sur les bancs, les terrasses des cafés et les trottoirs. Fatigués, nous posons nos sacs et nos fesses dans le Starbucks le plus proche. Nous apprécions particulièrement l'usage du papier recyclé, qui compense à peine la tasse jetable à bien y réfléchir... Mais l'image de tous ces gens, gobelet en main dans les rues, reste dans mon esprit symboliquement forte dans ma représentation des Londoniens. Après un petit tour de Chinatown, nous nous dirigeons vers Covent garden. Le petit labyrinthe des rues nous promènent dans un quartier aux allures de village. Tout est impeccable, les devantures des boutiques sont colorées, le charme opère tout de suite. Nous découvrons le petit marché couvert. Nous commençons à accuser le coup, nous sommes lévés depuis bien longtemps et nos sacs semblent peser de plus en plus lourds sur nos épaules. Nous marchons encore 1h à travers la ville avant de gagner la station de métro qui nous amènera directement à la plus proche de l'hôtel, réservé en périphérie. Il faut dire que la distance qui séparent les stations est toujours importante. Nous sommes impressionnés par la propreté et la modernité du métro. Nous descendons à Canary Wharf, dans les docklands, quartier des affaires où les hommes blancs costard-cravates, à la sortir du bureau, boivent leur pinte de bière debout devant les bars. Indiens, Pakistanais, Noirs, Asiatiques (, femmes) sont nombreux mais occupent souvent des postes "subalternes". Londres ici ne fait pas figure d'exception. L'hôtel proposé par voyages-sncf est un 4 étoiles. Nous avons un peu peur d'être regardés de travers à cause de notre accoutrement de routard mais pas du tout. Notre chambre est spacieuse, un plateau petit-déjeuner nous fera économiser l'argent d'un repas. A la télé, les Simpsons se disputent dans leur langue originale. Fourbus, nous optons après un bain chaud pour un dîner-buffet à l'hôtel.
Vendredi, couchés tôt, nous nous réveillons tôt. Il fait beau. Nous n'emportons que le strict nécessaire et optons pour une day travelcard qui nous permettra de prendre les transports en commun autant de fois que nécessaire. Nous traversons presque toute la ville en métro pour nous rendre sur le marché de Portobello Road : fripes, légumes, gadgets, cuisine à emporter... On y trouve de tout et le quartier est agréable, notamment grâce aux façades peintes et aux arbres qui longent les allées. On passe à côté de Notting Hill où les demeures victoriennes immenses ne nous encouragent pas à y chercher les décors où Hugh Grant tombe amoureux de Julia roberts. Nous descendons toute l'avenue jusqu'à Kensington Gardens et Hyde Park où nous faisons une halte au bord des lacs après avoir donné à manger aux écureuils apprivoisés avant de reprendre le métro. Un délicieux club-sandwich avalé dans un "Prêt à manger" et nous nous rendons à la National Gallery où l'on peut admirer quelques oeuvres de Mantegna, Boticelli, Van Gogh, Monet... La plupart des musées londoniens sont gratuits. C'est peut-être une des raisons pour lesquelles on y croise peu de monde. De là, nous partons faire un tour dans la City avant de traverser le London Bridge. Au hasard des rues, nous découvrons un joli marché couvert, le "green market". Les pubs sont animés, le week-end commence pour les Londoniens, demain, il y a match. En début de soirée, nous nous rendons à Greenwich Village et sirotons des smoothies sur la jetée. Le marché vient de se terminer, le spectacle de la Tamise avec les derniers rayons de soleil qui percent le ciel est magnifique.
Samedi, le soleil a décidé d'être de la partie. Nos déambulations dans le marché de Camden Town n'en sont que meilleures. Ce quartier restera peut-être notre meilleur souvenir. Nous n'avons jamais vu une telle effervescence et une telle variété de stands et de boutiques. Les façades des magasins sont décorées d'énormes sculptures colorées en papier mâché. On y croise punks, familles, touristes, bobos... On y vend de tout ! On s'attable à côté d'autres gens pour manger sur le pouce une spécialité chinoise ou italienne. On passe d'une boutique futuriste où rien que la tenue des vendeurs vaut le détour à des stands de bijoux artisanaux en passant par les galeries de fripes et les ateliers de tatouage. Encore bercés par cette ambiance, nous traversons le Regent's Park où Londoniens prennent des bains de soleil, pique-niquent, frappent la balle. Encore un petit tour de métro et nous voilà à la Tate Britain où les artistes britanniques sont à l'honneur ; on y découvre notamment le magnifique "Lady of Shalott" de John William Waterhouse's. Pour changer de nos transports souterrains, nous embarquons à bord du ferry qui relie les galleries jumelles. De la Tamise, nous observons le paysage sous un autre angle. Sur la rive droite, le London Eye tourne et offre le vaste panorama londonien aux touristes. A quai, nous passons à côté du Globe Theatre de Shakespeare pour nous rendre à la Tate Modern. Hébergé dans une ancienne usine, le musée s'étale sur plusieurs étages. On y voit de nombreuses oeuvres d'artistes contemporains, surprenantes, ingénieuses, parfois hermétiques. Les vérandas ouvrent la vue sur Londres. Nous restons scotchés devant le Video quartet de Christian Marclay où son montage de centaines d'extraits de films concentrés sur des instruments, des chants, des bruits donnés à voir sur quatre écrans juxtaposés donnent à entendre un veritable partition musicale. Prouesse sonore et visuelle. En sortant, il fait encore très beau et nombreux sont les gens sur les quais. Nous dînons dans un restaurant de la chaîne japonaise des Wagamama avant de regagner l'hôtel.
Dimanche, nous remettons nos sacs sur nos épaules, plus lourds qu'à l'arrivée des souvenirs emportés. Nous descendons à White Chapel où Jack L'Eventreur égorgea ses premières victimes. Nous baguenaudons à travers le marché populaire de Brick Lane, dépensons nos dernières livres sterling. Nous avons retenu la leçon et arrivons en avance à la gare de Waterloo. Le trajet du retour nous ramène à Poitiers, la tête pleine de souvenirs, bien décidés à repartir un jour !
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Quelques infos pratiques
- L'AR Paris-Londres en Eurostar se fait en 2h35 (durée d'un trajet) pour moins de 100€.
- L'hôtel où je suis descendue est le Britannia International Hotel **** dans le quartier calme de Canary Wharf. Compter 100€ par nuit pour une chambre double avec baignoire et vue sur les docks (l'hébergement est hors de prix à Londres !). Le plateau petit-déjeuner servi dans la chambre gratuitement et quelques gâteaux achetés en supermarché vous permettront de bien commencer la journée. Les restaurant de l'hôtel sont chers et surtout de piètre qualité.
- On peut manger pour moins de 5£ (7,5€) le midi dans les chaînes de sandwiches ou sur les marchés. Allez en confiance dans les "Prêt à manger", leur clubs sont délicieux ! Les Wagamama sont tout aussi bons mais plus chers (compter entre 7 et 9£ pour un plat, copieux).
- Faites faire votre carte étudiant internationale pour bénéficier des tarifs avantageux des cartes Oyster pour les transports mais seulement si votre séjour est au moins d'une semaine et/ou que vous avez prévu de faire des attractions payantes telles que l'Aquarium, le Dungeon ou le musée Tussaud par exemple car sinon, elle ne sera pas rentable.
- N'oubliez pas le pourboire d'au moins 10% dans les bars et les restos pour le service rarement compris.
Lien
Le petit tour gastronomique de Londres de Cléa
Le petit tour de Kitchenette
- L'AR Paris-Londres en Eurostar se fait en 2h35 (durée d'un trajet) pour moins de 100€.
- L'hôtel où je suis descendue est le Britannia International Hotel **** dans le quartier calme de Canary Wharf. Compter 100€ par nuit pour une chambre double avec baignoire et vue sur les docks (l'hébergement est hors de prix à Londres !). Le plateau petit-déjeuner servi dans la chambre gratuitement et quelques gâteaux achetés en supermarché vous permettront de bien commencer la journée. Les restaurant de l'hôtel sont chers et surtout de piètre qualité.
- On peut manger pour moins de 5£ (7,5€) le midi dans les chaînes de sandwiches ou sur les marchés. Allez en confiance dans les "Prêt à manger", leur clubs sont délicieux ! Les Wagamama sont tout aussi bons mais plus chers (compter entre 7 et 9£ pour un plat, copieux).
- Faites faire votre carte étudiant internationale pour bénéficier des tarifs avantageux des cartes Oyster pour les transports mais seulement si votre séjour est au moins d'une semaine et/ou que vous avez prévu de faire des attractions payantes telles que l'Aquarium, le Dungeon ou le musée Tussaud par exemple car sinon, elle ne sera pas rentable.
- N'oubliez pas le pourboire d'au moins 10% dans les bars et les restos pour le service rarement compris.
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Le petit tour gastronomique de Londres de Cléa
Le petit tour de Kitchenette
11 Comments:
Aaaaaaah Londres (dommage qu'il n'y ait pas d'emoticones ici, je mettrais plein de petits coeurs !!!) Chuis amoureuse de Londres ! Quand je suis partie j'ai déprimé pendant au moins une semaine en regardant mes photos ! Les musées gratuits, les tunnels de métro décorés, les marchés, les parcs à l'anglaise, l'absence de klaxons fous furieux !!! C'est évident que j'y retournerai un jour...
Par contre ptite griotte "L'AR Paris-Londres en Eurostar se fait en 2h35" : AR c'est aller-retour ?? alors là j'en doute fort LOL
C'est trop rigolo de te lire ! Ton séjour et tes photos me rappellent les 4 jours que j'ai passés à Londres le mois dernier... Merciiii !
Merci pour ton message sur mon blog. Tu as eu un peu plus de temps que moi pour profiter de Londres et je suis contente que ça t'ai plus aussi! Au passage, ça me fait découvrir ton site!
Merci pour ce récit Griottesque ;o))
Moi aussi je suis une grande fan de Londres - que je n'ai eu le plaisir de visiter qu'une seule fois il y a longtemps déjà ...... ouhhh ça me rajeunit pas ça tiens !!
Welcome back la Griotte :o)
Tu as raison Amandina... 2h35 c'est un trajet seul, je vais modifier ça. Et comme toi, suis un peu déprimée par le retour à la routine...
Ma petite Cléa, je me suis rendue compte que j'avais honteusement plagié ta photo au Starbucks... C'était inconscient, je devais l'avoir dans un coin de ma tête quand je m'y suis attablée ;)
Coucou kitchenette et bienvenue ! C'est marrant qu'on y soit allé au même moment !
Contente de te retrouver ma Pescalune !!! :*
Merci de nous avoir fait partager ce voyage !
J'ai l'impression de l'avoir fait avec toi!!!!
oooohhhh... mais il faudra que je revienne quand je serai un peu plus reveillée, et aurais plus de temps, pour lire tout ça... :-)
Quel récit ! Ravie que vous ayez passé un si bon séjour... Moi qui ne suis encore jamais allée à Londres, j'ai plus que jamais envie de m'y rendre à mon tour !! ;)
Merci les filles ;-*
Féo, je suis certaine que vous adoreriez Londres avec Lapin... Je vous conterai ça prochainement de vive voix, lors d'un pique-nique par exemple ;)
aujourd'hui j'ai cité toi et Pescalune sur mon blog, à propos des vertus du mate et du cacao. Tu en connais? :-)
Je suis une inconditionnelle du maté. C'est un très bon anti-oxydant, il est riche en vitamine C et en caféine et tout ça en fait un bon stimulant et lui prête des vertus toniques. Un des mes correspondants argentins me disait qu'on le considère comme la boisson de l'amitié et qu'on en boit partout là-bas, même dans la rue... (quand je sors avec ma tasse de thé à la main en France, on me regarde d'un drôle d'air). Un peu comme Les londoniens et leur gobelets Starbucks, sauf que la calebasse et la bombilla avec laquelle on le boit ne sont pas jetables... Ils ont tout bon ces Argentins ! ;)
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